Nouveauté dans une journée banale [Privé]

Il etait aux alentours de 9h30 du matin et Sieg arrivait à son boulot. Arpentant les couloirs entre son dortoir et l'infirmerie, il semblait un brin demotivé. Lui, toujours fonceur, croquant toujours la vie à pleine dents se faisait chier. il etait un peu blasé, comme si il avait deja experimenté tout ce que la vie pouvait lui offrir. Lui qui avait toujours tout eut sans efforts semblait ne plus trouver rien de nouveau à faire. Meme les filles l'interessaient moins qu'avant. Pourtant ici il avait le choix! Des filles faciles qu'il croisait dans les couloirs ou qui venaient directement se jeter dans ses bras à l'infirmerie ou alors des filles moins faciles qu'il se faisait autrefois une joie d'amener dans son lit. Mais aujourd'hui, ça comme le reste l'interessait de moins en moins.
Il aurait put sortir, provoquer des petits caids de seconde zone pour leur foutre sur la gueule. Il l'avait deja fait plusieurs fois ces derniers mois. Ca l'avait bien detendu et il s'etait defoulé. Mais en ce moment il ne trouvait plus d'adversaires valables. C'est ça le probleme quand on a un niveau élevé en arts martiaux, on trouve rarement quelqu'un capable de faire face. Et defoncer des faiblards ne l'interessait pas.
Bref, le toubib etait en panne de motivation.

Il poussa la porte de l'infirmerie et la trouva evidement comme il l'avait laissé la veille. Propre, blanche, ascéptisée. Une infirmerie basique et bien entretenue. Il se rappelait la premiere fois qu'il avait poussé cette porte. Il etait aux anges, persuadé de trouver suffisament de filles pour satisfaire toutes ses envies. Le probleme etait qu'il en avait trouvé tant qu'il s'en etait lassé. Chaque homme (et lui le premier) aurait imaginé la chose impossible mais pourtant c'etait le cas. Bien sur il n'en n'etait pas encore au point de faire voeux d'abstinence et il savait qu'il baiserait energiquement chacune de celle qui le lui demanderait. Mais quelquechose en lui etait comme brisé. Il y a peu, il serait partit en laissant tout derriere lui pour recommencer autre chose mais la, il n'avait meme pas cette motivation.

Par habitude, et meme si l'infirmerie etait propre, il passa un coup de balai et verifia que chacun des objets etait propre. Il controla aussi les stocks de médicaments par conscience professionelle. Meme si lui meme avait une panne de motivation, il etait hors de question que cela se voit et encore moins que cela affecte son travail. Comme d'habitude tout etait irreprochable. La sonnerie se fit entendre dans le batiment indiquant la pause de dix heures. En général, c'etait l'heure ou au moins un des eleves venait pour se faire dispenser du cours suivant. Sieg renvoyait les mecs en cours (sauf s'ils etaient vraiment malades). Par contre, les filles avaient droit en général à un autre traitement. Elles se jetaient dans ses bras en echange d'un peu de bon temps et d'une dispense de cours. Sachant donc quel allait surement etre le programme, Sieg attendit à son bureau, l'arrivée d'un ou d'une eleve.

La journée ne débutait pourtant pas si mal. Sarah s'était levée avec le soleil, comme elle en avait l'habitude, puis avait pris une douche fraîche en raison de la chaleur estivale. Elle s'était ensuite habillée d'un pantalon large en toile légère et d'un débardeur à fleurs. Ainsi vêtue, elle semblait débarquer tout droit de Woodstock. Elle avait tiré ses cheveux en arrière et les avait fixés avec un bandeau vert avant de s'observer dans un mirroir, satisfaite et rassurée de constater que sa particularité n'était pas visible.

De toute façon, elle avait fixé sa verge en semi-érection permanente à sa cuisse gauche, à l'aide de bandelettes élastiques. Car il fallait se rendre à l'évidence. L'arrivée de l'été avait des incidences évidentes sur ses hormones. Pour être honnête, Sarah était en chaleur. Elle détestait cette sensation de manque, d'envie de sexe, d'envie d'être prise, de jouir, de s'oublier dans le plaisir. Elle avait l'impression de n'être plus qu'un animal en rut, et cette sensation était humiliante.

Mais c'était seulement alors qu'elle était sur le point de sortir que sa journée s'était gâtée. Un coup d'oeil sur son calendrier lui avait rappelé que c'était aujoud'hui la visite semestrielle à l'infirmerie... Et la jeune femme détestait ce jour.

Résignée, elle se dirigea vers les locaux de l'infirmerie, soupirant d'appréhension. Cette visite n'était pas une visite normale. L'infirmière, une femme particulièrement vicieuse, s'amusait chaque fois à lui faire subir des tests gênants au possible. Mesure du sexe, longueur comme largeur, production de sperme... La responsable utilisait son acendant pour forcer Sarah à obéir, et cela finissait chaque fois en bain de foutre. L'adolescente ne voulait plus céder à cela, mais ne savait pas comment dire non.

Elle fut donc surprise, en entrant dans l'infirmerie, de découvrir un homme et non pas une femme comme elle s'y attendait.

-"B... Bonjour Monsieur... Je... Je suis là pour la visite semestrielle... Vous... remplacez l'ancienne infirmière ?"

Il n'eut pas à attendre longtemps avec qu'une eleve vienne. Sa surprise fut assez grande en constatant que l'eleve en question etait une fille aux courbes ennivrantes qu'il ne connaissait pas encore. La journée promettait donc d'etre un peu moins morne qu'il ne l'avait craint. La jeune femme semblait en plus toute timide, ce qui n'etait pas pour lui deplaire. En tout cas, cet aspect timide con trastait avec sa tenue façon Flower Power et principalement son debardeur qui devoilait de genereuses parts de sa poitrine, masquant à peine l'essentiel.
Dans son béguaiment, la jeune femme lui rappela qu'aujourd'hui etait le jour de la visite medicale. Et, parlant de l'ancienne infirmiere, elle lui apprit que cette jeune femme etait ici depuis plus longtemps que lui! Il en etait sidéré. Comment avait il put passer à coté d'une telle beautée?

"Bien sur, la visite medicale, j'avais presque oublié. Pour l'ancienne infirmiere, elle est morte, ecrasée par un bus il y a quelques mois de ça. Tu ne sors pas de ton dortoir pour ne pas savoir ça? Enfin bon, je suis le docteur Sieg Hart, mais appele moi Sieg."

Il lui avait parlé de l'accident de l'ancienne infirmiere sur le ton de la météo. Il ne la connaissait pas personnellement donc, peu lui importait que cette femme soit morte ou encore vivante. Pas qu'il soit misanthrope, juste pas suffisament faux cul pour s'affliger de personne donc il n'avait rien à faire.

"Il y a aussi eu un petit accident ici et tous les dossiers d'eleves ont été perdus avant mon arrivée. Vu que je ne te connais pas, il va falloir reprendre tout à zéro. Comment t'appeles tu?"

Il sortit de son bureau une fiche bristol et un stylo pour ouvrir un dossier sur la jeune fille. Attendant sa reponse, il remarqua que le debardeur de la jeune inconnue ne masquait pas que ses tetons pointaient legerement. Elle semblait faire honneur à la majorité des filles d'ici en etant presque tout le temps en chaleur. Il lui adressa un sourire amusé.

"Tu passeras dans la piece à coté et enleveras tout ce que tu portes en haut."

Le ton etait neutre et professionnel, ne montrant absoluement pas un certain désir charnel pour la jeune femme.

Sarah se sentit rassurée lorsqu'elle constata que son calvaire était enfin terminé. Elle n'aurait plus, de toute évidence, à se plier aux fantaisies d'une infirmière vicieuse et détraquée. Evidemment, le bel homme qui la remplaçait était intimidant, et sacrément attirant, mais elle était certaine qu'il ne lui ferait pas subir les outrages qu'elle avait eu à supporter.

-"B... Bonjour, Monsieur Sieg. Je ne savais pas pour l'ancienne... je ne la voyais que deux fois par an."

Sarah ne put retenir un léger sourir coupable. Il était un peu malsain de se réjouir de la mort de quelqu'un, mais elle se sentait libérée.

-"Je m'appelle Sarah, Monsieur Sieg. Sarah Negawa, c'est ma seconde année ici. J'ai seize ans et demie..."

Heureuse de se trouver dans une situation plus rassurante que prévu, Sarah se dandinait sur place, sa poitrine largement généreuse remuant fermement sous son débardeur minimaliste, ses têtons pointant lui rappellant cependant l'état d'excitation constante dans laquelle elle se trouvait. Elle se félicita d'ailleurs des vêtements qu'elle portait.

Sarah s'exécuta volontier, passant dans la pièce voisine, et retirant son haut, soulevant au passage ses seins ronds et pleins, rosissant de gêne, et de plaisir en sentant l'air sur sa peau nue, comme si elle vivait pour être ainsi dénudée.

-"Voilà, M'sieur ! Que dois-je faire ?"

Sieg faillit eclater de rire en captant le sourire de la jeune femme à l'annonce de la mort de l'ancienne infirmiere. Il avait entendu diverses rumeurs sur cette personne et si la moitiés etaient vraies, alors cette femme etait l'incarnation du vice. Et vu la stisfaction dont faisait preuve Sarah, nul doute qu'elle meme avait du subir des choses surement tres plaisantes mais peut etre genante pour elle.
Il nota sur son bristol le nom et l'age de la jeune femme, distrait par celle ci. En effet, il avait du mal à l'imaginer génée face à un quelconque exercice sexuel vu la façon dont elle se deplaçait, faisait delicieusement bouger sa poitrine. Puis elle retira son haut, devoilant deux splendides globes de chair, gonflés de vie et semblant n'attendre qu'un homme qui vienne la caresser. Vraiment, il avait du mal à imaginer la jeune femme regretter la mort d'une infirmiere perverse et il avait aussi du mal à comprendre pourquoi elle s'etait montrée si timide en entrant. On ne se montrait pas timide généralement quand ses tetons trahissaient une excitation manifeste.
Bref, puissament distrait par la jeune femme, Sieg mit une bonne minute à noter sur sa feuille le nom et l'age de cette belle jeune femme. Puis, repondant enfin à l'appel de la jeune femme, il vint la rejoindre, la feuille bristol dans une main et un appareil etrange qui semblait etre un instrument de torture dans l'autre. Il s'agissait simplement d'un tres vieil ustencil de medecine qu'il remttait à sa place apres l'avoir montré à un curieux la veille. Il etait un peu irrité car cet appraeil, pourtant volumineux, etait passé au travers de son rangement.

Il posa le futur dossier de la jeune femme sur une table à proximité et l'invita à s'asseoir sur la table d'oscultation et commença son travail de maniere tres professionnelle, meme s'il sentait que son entrejambe commençait à accumuler du sang, signe d'une future erection. N'y pretant pas trop d'attention car rien n'etait visible, il continua son travail, observant en detail sa gorge, son nez, ses oreilles, ses yeux avec divers ustencils pas vraiment glamour mais pourtant indispensable à son travail. Puis il descendit vers le torse de la jeune femme, ecoutant ses battements cardiaque avec son stétoscope. Rien de special à signaler, elle semblait en parfaite santé.
Continuant son travail, il passa ses mains sous la poitrine de Sarah, soupesant ses seins.

"Tu as une poitrine des plus volumineuses. Tu n'as jamais eu de mal de dos? Ca peut en occasioner."

La encore, le ton etait professionnel meme s'il adorait le contact si doux de cette poitrine. Son sexe se gonflait encore d'avantage mais, la encore, pas encore assez pour etre visible.

Sarah se laissa examiner sans vraiment résister, bien qu'elle soit un peu gênée d'être ainsi dévoilée, et manipulée par ces instruments froids et effrayants. Elle ne voulait pas créer de problème et gâcher son soulagement en se défendant.

-"Je sais... J'ai de gros seins, je suis assez développée de ce côté, Monsieur Sieg... Mais je n'ai encore jamais eu de problème à cause de cela... Mis à part peut-être pour dormir..."

Elle eut un petit sourire timide avant de se saisir de sa propre poitrine à deux mains, pour la soupeser en l'observant avec une petit moue. Etrangement, ce geste déclancha un engrenage qui allait changer les plans de sa matinée.
Ses têtons pointés, roulant sous ses paumes, étaient électrisés par ce contact et la chaleur qui grandissant dans le ventre de l'adolescente. Elle rougit, les lèvres entr'ouvertes, avant de plonger son regard dans les yeux du médecin.

-"M... Monsieur Sieg, je..."

Elle soupira langoureusement,sentant son sexe durcir contre sa cuisse, tendant les élastique qui le retenaient.

-"Je suis désolée, Monsieur... Je..."

Elle s'agrippa à la blouse du jeune homme, approchant son visage à quelques centimètres du sien. Sa main gauche fila sur l'entrejambe du docteur pour tâter avec envie ce qu'elle voulait y trouver.

-"Je... Je n'en peux plus, il faut que... cela fait trop longtemps, j'ai besoin de... Oooh... Docteur, baisez-moi s'il vous plaît..."

Les choses s'etaient enchainées un peu plus rapidement que l'avait espéré Sieg. Il esperait provoquer une reaction en lui touchant les seins mais n'avait pas esperé un resultat si concluant. Au prix de ce qui semblait etre un grand effort contre sa timidité, Sarah venait de lui faire une demande en bon et due forme. Elle voulait etre baisée et, deja, sa main tatait l'entre jambe du docteur. Il la laissa patienter un petit instant, profitant des caresses declicieuse de la jeune femme et l'observant à loisir. Ses seins pointaient, son souffle semblait irrégulier et il etait sur que son coeur devait battre à tout rompre.
Esquissant un sourire amusé, il lui fit lacher prise de blouse et se recula un petit peu.

"Et ben on peut dire que tu sais ce que tu veux. Comme presque toutes les filles d'ici d'ailleurs. C'est pas forcement plus mal. Ma foi, il va me falloir une bonne raison pour que je te fasse ta fete. Montre moi deja ce que tu sais faire avec ta bouche et je verai apres ce que je peux faire pour toi en fonction."

Il se debarassa de sa blouse qui risquait de bientot gener et ouvrit la braguette de son pantalon, revelant un sexe qui promettait d'etre de tres bonne taille une fois qu'il aurait été correctement excité.
Sieg se rapprocha de Sarah, mettant son sexe à quelques petits centimetres de sa bouche. Rapidement, ses mains libres fondirent sur la poitrine généreuse de la jeune femme pour caresser ces globes de chair si apetissants, la massant doucement de façon à faire monter son exctitation.

Sarah observa le sexe du jeune homme avec un immense appêtit, une irrésistible envie de voir cette colonne de chair se dresser et se durcir, puis de la manger jusqu'à ce qu'elle explose dans sa bouche, sur son visage, partout.

-"Mmmh... Merci, docteur... J'en ai tellement besoin... Je vous rassure, je sais parfaitement comment m'occuper d'une queue..."

Elle poussa doucement le jeune homme vers la table d'oscultation et le fit s'assoir à moitié. Elle s'agenouilla et approcha son visage de la verge encore au repos. Elle le cola contre les bourses pleines, s'ennivrant de l'odeur masculine qui s'en dégageait, les embrassant, puis faisant glisser sa langue dessus.

-"Vous avez une belle queue, Monsieur... J'ai envie de la dévorer... Et de goûter votre sperme..."

L'adolescente attendit que le sexe se gonfle un peu pour remonter le long de la hampe, et enfoncer le gland entre ses lèvres humides. Sa main gauche s'empara de la queue depuis sa base et la branla lentement pendant qu'elle en suçait langoureusement le bout, l'innondant de sa salive.
Elle commença à pomper la colonne de chair de plus en plus vite, se l'enfonçant parfois jusqu'au fond de la gorge, s'etouffant dessus avec envie, bavant obscènement.

La jeune femme semblait en effet savoir s'occuper d'une bite. Nul doute que ce ne devait pas etre la premier qui passait entre ses mains. Cette fille qui semblait si timide, trop timide meme pour un corps si beau, se revelait maintenant comme une grande perverse que seul le sperme pouvait rassasier. Elle s'attelait à le faire bander, deployant tout son savoir faire pour executer son travail d'une maniere des plus excitante, parfois vulgaire mais ne faisant qu'augmenter le coté exitant.

"Tu vas y goutter je crois bien. Mais je vais un petit peu t'y aider."

Il posa ses mains sur la tete de la jeune femme et appuya fortement, l'obligeant à avaler sa bite jusqu'à la garde. Il lui aurait meme fait rentrer les couilles s'il y avait eu la place. D'abord doucement, il fit bouger la tete de Sarah puis augmenta progressivement la cadence, lui baisant litteralement la bouche et la gorge, sentant son sexe se gonfler au maximum dans cette gorge serrée. Puis, il se retira, la laissant respirer au passage.

"Tu as une si belle poitrine, se serait un crime de passer à coté lors d'une pipe."

Il la fit se redresser un petit peu et plaça son sexe trempé de salive entre les seins volumineux de sa partenaire. Son sexe depassant de la poitrine de Sarah, celle ci pouvait continuer d'y gouter. La, prennant à deux mains la poitrine de la jeune femme, il lui fit faire des allez retours energiques, se branlant avec les seins généreux de la jeune femme.
Puis il sentit monter en lui la seve. N'ayant pas vraiment de raison de retenir cette montée puisque Sarah voulait y gouter, il se laissa aller et ejacula. Un premier jet atterit dans sa bouche puis il se recula un peu afin de deposer le reste sur le visage de sa partenaire, la couvrant de ce nectar apparament bon pour la peau.