Maladresse quand tu nous tiens...

Après le cour de Francais, Elwë avait vraiment très soif. Sauf qu'il n'avait plus rien sur lui, aussi décida t'il d'aller à la cafétéria. Etant assez pressé de rassasier sa soif, il y partie en courant. A sa grande surprise, il passa les couloirs glissant sans trop bousculer présent, les élèves présent en foule. Se faufilant par la porte de la cafétéria, il ne vit pas la prof de français qui avait l'air de vouloir en sortir et trébucha sur elle, l'emmenant avec lui dans sa chute. Se disant qu'il était dans de beaux draps maintenant... même si son parfum tentait de lui faire oublier sa maladresse... elle ne tarderait pas de la lui rappeler.

Apres les quelques nuits bisard, qu’elle avait passé ici, elle avait tenté de prendre une vie classique. Une nouvelle classe était arrivé, et tout allait rentrer dans l'ordre. Elle reprit une vie paisible, elle allait manger à la cafétéria comme d'habitude et étant prof', elle pouvait doubler les éleves, ce qui fit qu'un garçon ne s'attendent pas à la voire, lui fonça dedans avec une force tel qu'ils en tombèrent tout les deux à la reverse. Le plateau entier du jeune homme était tombé sur elle : le liquide, la nourriture. Dans la chute des boutons s'était également décousu en s'accrochant au bar où coulisse les plateau. Apres un instant d'étonnement presque de choc, la jeune femme se releva, voyant l'état dans lequel elle se trouvait avant de s'apercevoir gené que les eleves qui l'entour avait une belle vu plongeante sur son décolleté. Elle ferma brusquement son chemisier avec ses mains et couru au toilettes.

Ouf, Elwë était sauf. Il n'entendait pas de colère turlupiner ses oreilles sensibles. Mais le problème dans tout ca, c'est que ca c'était passé devant tout le monde. Si bien qu'il compris la réaction de timidité face à la honte de la jeune femme. Même si, il avait pu, un instant gêné apprécier la poitrine avantageuse de cette malheureuse dernière. Il s'empressa de se relever attrapant des torchons pour nettoyer le veston de Marie, mais il n'eu pas le temps de réagir qu'elle fut déjà disparut...

Il la vit partir vivement aux toilettes et attrapant des torchons couru encore après elle, d'une part pour s'excuser et d'autres part pour l'aider à se nettoyer afin de réparer son erreur. Où en tout cas, lui donner quelques torchons pour se faire... c'est qu'elle était jolie dans son tailleur de prof et il regrettait déjà de l'avoir bousculé par inadvertance.

C'est vrai que tellement remué, elle ne fit pas cas du jeune homme, elle ne l’entendit pas la suivre. Elle s'enferma donc dans un toilette quand elle entendit un bruit de porte. Elle hésitait d’être peiné à cause de l'état de ses vêtements et les conséquences qui allait avec ou la honte qu'elle venait de vivre. Elle en était tout bouleversé, cela rajouté à sa sensibilité légendaire, elle était à deux doigts des larmes tellement elle était bouleversé par la situation qu'elle venait de vivre. Oh oui, elle savait qu'il n'y avait rien de grave, mais elel était ainsi elle sentait les choses intensément, et surtout elle ne voulait plus que ce qui c'était passé auparavant se reproduise et c'était un peu comme si cela lui rappelait.
Elle avait été dans le toilette handicapé elle savait qu'il y avait une glace et un robinet, pensant la porte fermé, elle commença a s'essuyer elle ne pouvait faire que ça pour le moment.

Elwë restait tout de même quelque chose d'assez Félin, même s'il n'était pas sous sa forme de chat noir. Cela voulait dire que même en étant brusque et pressé, il pouvait rester assez furtif pour se glisser silencieusement dans le dos de quelqu'un sans même s'en rendre compte. Passé la porte qu'il avait ouvert bruyamment et voyant que la jeune femme semblait au bord des larmes. Il se glissa près d'elle, mais sans vraiment la toucher et essuya une tache de lait qui trônait sur la joue de la jeune femme, avec son index emprisonné dans l'un des torchons. Déposant les autres sur la table. Il ne réalisa pas tout de suite qu'elle ne l'avait pas entendu approcher et se contenta de tenter de la rassurer et de lui présenter ses excuses rapidement, pour dire que cela soit fait :

"Ca va aller... je suis vraiment désolé de vous avoir mis dans une telle situation... "

Puis, il attendit sa réaction, même si il ne se doutait pas qu'il l'avait surement surprise.

Elwë, la trouvait de plus en plus charmante. Il aimait bien cet air qu'elle prenait, du genre, attention, je reste quand même ta prof'. Alors qu'ils étaient tout seul dans les toilettes et que lui n'avait rien à faire la. Il lui fit un sourire en coin pour répondre à sa réponse et continua d'essuyer les traces d'aliments et de breuvage présent sur la peau de la jeune femme. Caressant cette dernière avec le torchon. Avant de continuer en frottant délicatement le chemisier pour faire partir les plus grosses traces, même si ca n'enleverait pas les tâches.

Il aurait du partir, mais il n'en avait pas vraiment envie. Il en était confus, à mesure qu'il approchait ses doigts de la poitrine sur le chemisier pour essuyer l'humidité. Car, au fond de son pantalon, son excitation grandissait et le jeune homme faisait tout pour la réprimer. Tentant de penser à autre chose, sans la regarder dans les yeux pour préférer fixer le plafond. Tenter de compter des nombres compliqués pour oublier ce qu'il était en train de faire... alors qu'il était à la merci de ses instincts d'homme.

Ne faisant pas attention à ce que faisait le jeune homme, n'ayant pas de recule sur la situation, elle ne dit rien et continuait elle aussi également à s'essuyait: le chemisier d'abord, le pantalon viendrait ensuite. Le jeune homme lui sourit, et continuait sans qu'elle n'y prête spécialement attention à essayer les traces d’aliments mais à présent sur sa peau. Troublé par temps de témérité elle le regarda surprise. Elle avait déjà reculer une fois, n'avait il pas comprit le message. Il continua sur le tissu de haut de Marie. Oui ça ne les enlevais pas et elle le savait bien, le but était d'enlever le plus gros simplement. Il s'approchait de la poitrine, cela lui fit comme une dé clique, elle ne voyait pas le mal partout, mais tout de même! D’autant plus quand elle senti sa peau, sa poitrine, ses hormones réagir à la situation.

Allez donc chercher mon sac, il est resté dans le réfectoire.

Une fois qu'il fut partie, elle ferma la porte à clef. Quand il revient, elle lui demanda de passe lui passer par dessous la porte.

Sa phrase le fit sortir de ses pensées lubriques qu'il avait eu tant de mal à écarter. Quand elle le lui ordonna, il laissa les torchons sur l'évier et sortit de la pièce en quête du sac. Après une courte recherche, il finit par le trouver et le ramena. Sauf que quand il voulu ouvrir la porte des toilettes, il se rendit compte que c'était fermé. Aussi, tourna t'il la poignet sans succès. Toquant à la porte, il déposa le sac sous la porte et le poussa avec son pieds... avant de hausser les épaules devant autant de frigidité de la part de la prof de français et de s'adosser au mur, attendant patiemment qu'elle ai fini.

Peut être que ses avances allait être récompensé au final... qui sait ?

Il l'avait aidé, avait tenté de se racheter et pour juste récompense : Que des reproches et des avertissements. Non, Elwë n'allait pas la laisser partir comme ca, à si bon compte. Surtout qu'il avait maintenant un moyen de pression sur la prof de francais. Aussi, en réponse à son avertissement, il sifflota d'un air rebelle en lui rendant un regard entendu. L'air de dire qu'il ferait ce comme ca lui chante. Avant de répondre, s'approchant d'elle pour lui tenir tête :

"Il faudrait m'attacher pour que je n'en parle pas... imaginez un peu les ragots que ca peut faire cette histoire. Une prof et un élève dans les toilettes handicapées, tout seul. Ca pourrait aller jusqu'à entacher votre carrière si ca se savait. Les gens pourraient même penser que vous êtes une femme facile qui se met dans des situations malencontreuses de manière intentionnée. Provoquant des chûtes où vous êtes la victime dans le seul but d'attirer quelques élèves qui vous plaisent dans les toilettes.... "

Il prit un instant de silence pour la laisser cogiter et mesurer l’ampleur de la situation avant de continuer :

"Imaginez un peu l'ampleur que ca pourrait prendre... et tout ca, repose sur mes épaules. Va vraiment falloir trouver un moyen de me faire taire. Ce serait mieux pour vous, en tout cas."

Dit-il avec un sourire en coin, se vengeant des divers réactions déplaisantes de la jeune femme.

Elle allait partir quand elle vut la réaction du jeune homme, enfin, elle entendu ce sifflement, elle le regarda et l'entendu parler.
Elle était une fois de plus estomaqué devant autant d'aplomb, apparemment cet élève avait décidé que ce malencontreux accident n'était que le début des problèmes. Allez savoir même si il ne l'avait pas fais exprès, surtout vu l'attitude qu'il avait depuis le début.

Elle restait là statique à l'écouter, surprise, outré, abasourdi. L'air du jeune homme changeait du tout au tout. Elle comprenait de part son intonation notamment qu'il s'agissait purement d'un chantage

C'est ridicule et absurde mais admettons, que voulez vous?!

Sa réaction était évidente, même si son coup de bluff avait eu plus de succès qu'il n'aurait pu penser en avoir. Il écouta ses mots et avant d'y répondre s'approcha d'elle pour saisir délicatement sa main par le poignet. Puis, il lui répondit par ces mots :

"Ce que je veux ?"

Il prit une pause et regarda à droite et à gauche pour s'assurer que personne n'écoute ou n'espionne avant de continuer :

"Je pense que nous devrions en parler dans un endroit plus discret. Mais voila un appercu de ce que je veux."

Dit-il en tirant sur le poignet de la jeune femme pour l'amener à lui et l'embrasser sur les lèvres de manière assez courte avant de les éloigner et d'attendre son consentement pour l'emmener ailleurs, plus loin, dans un endroit plus discret. Comme la salle d'entrainement de Kendo ou le club de thé qui devaient être fermés à cette heure ci de la journée.